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La vie des hommes et des femmes ayant exercé leur influence sur la politique royale française entre le Moyen Age et le XIXe siècle : Clotilde, l'abbé Suger, Isabeau de Bavière, Michel de l'Hospital, le cardinal Mazarin, le duc de Choiseul ou encore Joseph Fouché et Eugénie de Montijo. |
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Si la défaite française de Rossbach doit tenir une place dans l’histoire, c’est surtout parce qu’elle est, pour le roi de Prusse Frédéric II, sa première victoire allemande plus que simplement prussienne : elle fonde en ce 5 novembre 1757 l’immense mouvement national qui conduit à l’Unité de l’Allemagne au XIXe siècle, inscrite dans une sorte de généalogie militaire : Rossbach en 1757, Iéna en 1806, Sedan en 1870. |
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La rivalité franco-anglaise domine l’histoire de l’Europe occidentale. Au cours des siècles les conflits se sont succédé, avec des paroxysmes comme lors de la guerre de Cent Ans ou sous Napoléon Ier. Mais depuis le XIXe siècle, en raison de la montée de périls extérieurs, les deux rivaux se sont beaucoup rapprochés. À l’aide d’une cartographie adaptée, cet ouvrage retrace et explique ces relations complexes et difficiles entre deux grands pays qualifiés parfois de « meilleurs ennemis » !
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Alfred von Schlieffen, commandant de l'armée allemande jusqu'en 1906, élabora un plan d'attaque de la France au début du XXe siècle, plan qui fut en partie appliqué en 1914. Étude de sa genèse, de ses modifications et de sa mise en oeuvre. L'auteur revient aussi sur les regards qui y ont été portés après-guerre et qui ont construit l'image de l'armée et de l'Empire allemands. |
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Lorsque le IIIe Reich déclenche l'opération Barbarossa, le Royaume-Uni et les États-Unis soutiennent l'URSS en mettant sur pied des lignes d'approvisionnement maritimes. L'une d'entre elles, particulièrement dangereuse, passe par l'océan glacial Arctique. En analysant les opérations militaires en mer et à terre, l'auteur remet en question le caractère décisif de cette aide alliée. |
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L'histoire chronologique des bombardements aériens en France durant la Seconde Guerre mondiale. L'auteur relate l'offensive allemande et italienne en 1940, les premiers raids anglais, l'attaque des usines françaises par la RAF, l'union des forces anglaises et américaines, le Débarquement, l'offensive allemande et ses poches de résistance ainsi que le bilan humain pour la France. |
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A partir d'archives inédites, les auteurs retracent cet acte final de la Seconde Guerre mondiale qui commence au lendemain de la bataille des Ardennes jusqu'à l'anéantissement de la puissance militaire allemande à la suite d'une série d'opérations militaires variées. Cette étude prend en considération les points de vue des différents intervenants, Alliés occidentaux et Allemands.
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| | | | « Si l'on n'a pas au moins cent mille hommes et un bon nombre de canons, on ne doit pas se permettre de me faire la guerre. Et ces Prussiens en avaient bien autant et davantage ; à quoi cela leur a-t-il servi ? Je les ai dispersés comme de la poussière dans le vent, je les ai écrasés et, en vérité, ils ne se relèveront plus. » Ces paroles prononcées par Napoléon en novembre 1806, lors d'un entretien avec Fredrich von Müller, conseiller du duc de Weimar, résument parfaitement la campagne de 1806. Brillante pour l'Empereur, elle fut synonyme de catastrophe et d'humiliation pour une Prusse vivant dans le souvenir glorieux des victoires du Grand Frédéric. Comment une puissance européenne put-elle s'effondrer si brutalement, en un temps aussi court, à peine un mois ? |
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En octobre 1944, cela fait déjà deux ans que le Japon se trouve sur la défensive aussi bien sur terre que sur mer. Les défaites, puis bientôt les désastres se succèdent sans que cependant les militaires qui contrôlent le pouvoir à Tokyo, ne cherchent à y mettre fin en proposant aux Alliés une reddition. Dévasté, sans ressources, à bout de souffle, le pays cherche encore par tous les moyens à se battre. Cette autodestruction passe notamment par la création du corps de kamikazés... |
| | | | 25 juillet 1944, après six semaines de combats acharnés en Normandie, les Alliés déchirent soudainement le front allemand. S'engage alors une folle chevauchée qui les mène en 40 jours aux portes de l'Allemagne. La guerre semble gagnée. Chaque général rêve d'être le premier à franchir le Rhin. Mais Montgomery échoue devant Arnhem, Bradley disperse ses forces devant Aix-la-Chapelle, Patton s'enlise sur la Moselle, Patch et de Lattre butent sur les Vosges. Le front se stabilise. Malgré de multiples offensives durant l'automne, les Alliés piétinent, à tel point que le 16 décembre la Wehrmacht riposte dans les Ardennes. Aussi incroyable que cela puisse paraître, les Alliés viennent de perdre l'initiative. Ils ne gagneront pas la guerre à Noël. |
| | | | Au cours de la guerre de Sécession, le début de l'année 1864 est marqué par un virage important dans la gestion des opérations militaires par les Nordistes. Le général Grant reçoit du président Abraham Lincoln, incarnation du pouvoir politique, le titre de généralissime des armées fédérales. Dans le même temps, le président détermine une série d'objectifs stratégiques à atteindre avant la fin de l'automne 1864 pour assurer sa réélection et éviter qu'une paix de compromis soit signée avec les Confédérés. Il incombe alors à Grant d'établir une stratégie militaire qui prenne en compte les objectifs fixés par le pouvoir politique qui l'a nommé... |
| | | | En août 1914, deux généraux mythiques
s'affrontent : le jeune Erich Ludendorff, qui n'est pas encore le chef de
l'armée allemande, et le Belge Gérard Leman, identifié au destin des forts de
Liège. Ils luttent sur les bords de la Meuse, dans une bataille de douze jours,
la première de la Grande Guerre. Une bataille âpre, associant attaques
surprises d'infanterie et bombardement de la place forte. Les Allemands y
testent leurs nouveautés, Grosse Bertha et Zeppelin. Autre innovation, la
propagande, qui fait ses choux gras de la bataille de Liège, suscitant des
polémiques qui ne sont pas encore éteintes un siècle après les faits. |
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